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IL DEVIENT DE PLUS EN PLUS EVIDENT QUE CE N’EST PAS L’INANITION, LES MICROBES, OU LE CANCER, MAIS PAR CONTRE L'HOMME LUI-MEME EST LE SUPPREME DANGER CONTRE L’HUMANITE. CARL JUNG

Qu’est ce qui amène les humains à se grouper ? La plus part des espèces avec mobilité ont tendance a ce réunir ensemble. L’homme n’est pas une exception. Les frontières créées entre les espèces sont communs, aussi bien qu’entre les sous-unités parmi les espèces, et elles sont devenue aujourd’hui une pestilence pour l’humanité.

Notre besoin inné d’être accepté coïncide avec notre besoin pratique pour la survie du groupe. Des clans et tribus dérivent des familles en groupe et éventuellement évoluent elles-mêmes en nations. Les gens s’unissent en groupe pour la protection, la nutrition et l’affection familiale. Cette tendance est aussi exprimée chez les herbivores. Même les carnivores qui pourtant mènent une vie solitaire et indépendante souvent marquent leurs territoires et forment des groupes de chasses. Les humains étaient assez intelligents de chasser les carnivores et domestiquer les herbivores. En formant des sociétés et en marquant leurs territoires, l’homme a exprimé toute une gamme de comportement extraordinaire. Par toute mesure, les humains individuellement exposent autant de variations que les sociétés

L'évolution nous a bien servis en nous permettant d’exister. Le développement de sociétés paisibles est tout une autre question. Dans la préhistoire, notre férocité innée était contrariée par notre instinct de s’attrouper, de même que la tendance dominante était la préservation de l'autre. Ces instincts qui apparemment semblent opposés se sont équilibrés au cours de notre progression évolutionniste hors de la jungle et la savane. Nous nous trouvons maintenant coincés dans une lutte entre sociétés où seulement «le plus fort » (et non pas le plus pieux) survivra -- à moins que nous produisions assez de statespersonship. Le terrorisme, qu’il soit essentiellement religieux ou séculaire est juste une expression de cet engagement.

Sur une grande échelle, une esquisse apparait vaguement. Les féroces U.S contre les troupeaux d’Islam sont des expressions sociales de la nature générale de l’humanité. Le reverse est aussi vrai. Dans tout les cas, l’instinct de se grouper crée des problèmes de communication entre les sociétés. Le fait que les leaders « féroces » à chaque côté ont séré les cornes, est une expression naturelle de notre héritage.

Si l’on y pense, l’instinct de se grouper est, comme la férocité, exclusif en nature. Elle tend donc à séparer les sociétés que ce soit dans les familles, des quartiers, des personnes d’échelons économiques différents, des ordres religieux différents, et des unîtes politiques et économiques différentes. Même si l’un des instincts est agressif et l’autre défensif, les gènes responsables semblent augmenter l’un et l’autre- et ainsi croisant le conflit humain là ou il n’y a pas de mouvement décrispent suffisant pour maintenir la balance.

La compétition entre et parmi les sociétés humaines avec des conflits à travers les frontières, est un constant historique commun ; et aussi, entre les sous-unités a l’intérieure les frontières des sociétés : La Bosnie, le Cambodge, l’Uganda, Le Rwanda, et L’Ireland du Nord sont des exemples contemporaines. En même temps, il semble que l’Union Européenne est engagée sur une piste vers la paix. Non seulement des ennemies anciens ont enterré la hachette, mais aussi ils sont devenus des alliés assurés, qui acte en concert tout en partageant la gouvernance aussi bien que la devise. Nous voyons l’Europe comme un présage de la future.

Les sociétés peuvent être paisible ou violente ou n’importe quoi au milieu. Comparé aux Etas Unis, Le Japon, La Norvège et le Portugal sont assez paisible. Comparée à Washington DC, Tokyo est un Jardin d’ Éden. Il y a plus au moins trois contributeurs à ce phénomène. Personnalité Autoritaire qui fournisse le potentiel, Les Valeurs Sociales qui déterminent le ton, et la question concernant le Monothéisme et la Violence.

Essayons donc de voir comment ceci est arrivé. L’humanité a surgie de la sauvagerie et ceci en formant des sociétés pour la protection de tous. Les premières lois étaient probablement basées sur des mythes irréalistes. Mais ceux avec valeurs ont étaient préservées. Néanmoins, comme la maitrise de la nature s’améliorait, les populations grandis à des taux croissants, et ceci donc exigea des lois plus complexes pour la maintenance de l’ordre public.

Grace à une éducation élargie et libérale de ses membres, une société tienne à s’améliorer dans la création des lois au fur et en mesure qu’elle devienne plus respectueuse de la loi. Les frontières parmi les societes doivent devenir stables avant que les sociétés elle-même deviennent transparentes et paisibles. La transparence n’a pas encore été établie dans beaucoup d’endroit.

L’autorité de la loi (gouvernant les affaires humaines et convenablement permettant le choix de l’individu dans des limites raisonnables) est une caractéristique singulièrement séparant l’humanité et le monde animal. La réalisassions de la balance entre les intérêts individuels et ceux du group est une lutte perpétuelle dans la société humaine.

La nature a inscrit des lois gouvernant la survie des organismes vivants. La plus part des efforts fournies par la société de former une gouvernance stable commence nécessairement par la sauvagerie et doivent aller à travers les phases de tyrannie avant qu’elles n’évoluent vers une gouvernance caractérisée par le respect de la loi et reconnue par une société démocratique qui embrase tout les systèmes économiques à travers un dialogue perpétuel. Les sociétés ici sur cette terre n’ont pas encore atteint à un dialogue universel, même si certaines de ces sociétés sont beaucoup mieux que les autres. Ce processus n’est pas encore complet et le terrorisme en est l’indication.

Les lois ont des lacunes, bien même au moment ou elles sont rédigées ou plus tard quand la situation change. La sagesse inhérente d’une loi donnée gouverne son succès. Comparez par exemple, l’immense succès et endurance du « First Amendement » (le premier amendement) avec des lois contrôlant la marijuana ou l’alcool. Ces dernières ont mené à la construction de nouvelles prisons trop couteuse et encombrée résultant donc à l’actuel bourbier dans lequel nous nous trouvons et en somme l’auteur dans nos propres temps.

Le réalisme social est vital dans la construction des lois. Les sociétés évoluent dans des directions différentes. La force d’une loi donc, est constamment en évolution et elle n’est pas toujours en bonne accord avec les temps ou la compétition entre les sociétés. Les lois peuvent être érodées, comme par exemple le 4triem amendement (4th amendment) de la constitution. Un « strict constructionist » en interprétant la constitution conduise le dernier clou dans le coffit du 4triem amendement. Ironiquement, comiquement et tragiquement. Même si les lois comme la religion doivent avancer avec le temps en vue de rester pertinentes, les sociétés peuvent aller trop loin dans l’exercice de ces lois ou alors leur application peut être maladroite. Ce dernier est exactement ce qui est arrivé au 4triem amendement. Notre constitution ne peut pas être amendée singulièrement par le président, mais ceci est tout juste ce qui s’est passé graduellement depuis l’époque de Harry Truman. Lisez: Eroding Civil Liberties Notre héritage génétique ne serve pas bien la cause de la paix. Nos tendances innées envers un comportement agressif (en vaste variations) avec notre besoin pour l’approbation amènent beaucoup d'entre nous à joindre des groupes différents depuis la jeunesse. Certains poursuivent l’éclairement séculaire et d’autre choisissent la religion et la foi. Dans l’extrême, l’extrémisme apparait, que ce soit dans le fondamentalisme ploutocratique, politique, économique ou religieux. Le terrorisme peut donc surgir de tels secteurs extrêmes dans n’importe quelle société qui permette des conditions dans lesquelles l’aliénation et l’humiliation sont proéminent comme outils quotidien utilises par les individus ou par des groupes dans « la compétition pour la survie (Competion and Survival)»

Dans ce siècle,l'humanité a néamoins une opportunité de surmonter la mentalité de l'homme fort.


LES CHOSES PRIMAIRES QUI SEPARENT LES HUMAINS DU RESTES DES ANIMAUX INCLUES : COMMUNICATION ORALE, LA DECOUVERTE, LA FABRICATION DES OUTILS, DANS LA PERSPICACITE, LA CAPACITE DE PRENDRE DES DECISIONS, ET LA MORALITE. CEPENDANT, LES TERRORISTES TOUT COMME L’ADMINISTRATION ACTUELLE ESSAYENT DE REDEFINIR TOUT CECI EN VUE DE SERVIR LEURS PROPRES INTERETS AU DETRIMENT DE NOUS TOUS.

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